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Toutes les colères, angoisses, peurs que nous ressetons dans nos corps physiques nous appartiennent toutes véritablements ?

Il est scientifiquement prouvé notamment grâce à l'épigénétique, que les stress prolongés, blessures psychologiques intenses, traumatismes physiques ou émotionnels, modifient la structure de l'ADN et s'inscrivent dans le génome (ensemble des chromosomes et gênes de l'être humain) pouvant laisser des traces jusqu'à la quatrième génération...

Les secrets de famille impactent plus durement les 3 et 4 eme générations car la mémoire s'est perdue. Se libérer soi, c'est libérer nos enfants et leurs enfants.

Il existe de multiples outils assez simple d'utilisation, osons faire le 1er pas.

Pour nous, pour eux et pour la multitude.

21 jours pour se créer une nouvelle habitude.

12 semaines pour trouver un rythme.

6 mois pour la conserver.

1 an pour l'adorer.

2+ ans pour qu'elle fasse partie de notre identité.

Le moins facile étant les 21 premiers jours, découpons les en étape d'une semaine par une semaine et célébrons chacune.

Souvenez vous que :

Les grains de raisin sont écrasés pour faire du vin.

Les diamants se forment sous la pression.

Les olives sont pressées pour libérer l'huile.

Les graines poussent dans l'obscurité.

Chaque fois que vous vous sentez écrasés, sous pression, pressés ou dans l'obscurité, vous êtes dans un puissant moment de transformation.

Faites confiance au processus. 

Concept Pérélandra - Machaelle Small Wright

En ce jour de solstice d'hiver (22h48), se déversent sur nous, les énergies qui nous permettront d'être/de construire sur le prochain cycle qui se terminera en septembre par l'équinoxe d'automne.

C'est pourquoi il est intéressant :

- de poser l'intention clairement de se mettre en mode "réception" à ces énergies.
- de faire une offrande sur son autel (bougie, aliment, fleurs...)
- formuler à haute voix : "je souhaite inclure mon cycle de vie personnel/jardin de ma vie/tel ou tel domaine/ dans le rythme du solstice d'hiver"

Bon rituel, bonne réception des énergies.

Si vous souhaitez nettoyer votre aura de toutes les négativités accumulées, le gros sel est votre ami.

Sous la douche :

Prenez un bol pour déposer deux grosses poignées de gros sel et tout en faisant couler l’eau, tapotez votre peau avec. Évitez de frotter, le but n'est pas de décaper votre peau, uniquement l'aura. Vous pouvez visualiser cette négativité comme de la mousse sombre s’écouler avec l’eau et formulez des pensées de paix et de bien être. A renouveler sur 3 ou 4 jours.

Dans une bassine, en bain de pieds :

Mettez l’équivalent  de 2 poignées de gros sel dans une bassine avec de l’eau suffisamment chaude. Trempez vos pieds jusqu’aux chevilles en prenant qu’ils ne se touchent pas pendant 10 à 15 minutes. Rincez à l’eau claire et séchez avec du papier absorbant. Idéalement, l’eau salée sera jetée dans les toilettes sans la toucher puis la bassine sera bien rincée. A renouveler pendant 5 ou 6 jours.

Le bain

Cette méthode vous permettra non seulement de nettoyer votre aura des charges accumulées et en même temps de libérer des mémoires du corps physique. En effet, vous pouvez tout à fait avoir effectué une bonne analyse de vos peurs et malgré tout continuer de ressentir un inconfort. Bien que vos corps subtils aient fait la libération qui s’impose, votre dernier corps lui conservera une part de cette peur et vous la renverra.

Faites couler un bain avec 300 gr de gros sel et immergez vous 20 min. Prenez un court moment pour aussi plonger la tête (yeux fermés !).

Quand vous serez au calme, répétez 3 fois : "Je libère mon corps de cette peur de …. (la nommer)". Faire le point sur vos amis, votre réseau, votre famille et dire : "j’ai des amis (les visualiser), une famille, un réseau. Je suis là pour eux, ils sont là pour moi."

"Ce que je fais pour l’Univers, l’Univers le fait pour moi."

Videz la baignoire en restant dedans ! Seulement lorsqu’elle est vidée, vous pouvez vous rincer à l’eau claire.

A renouveler 1 fois si vous ressentez encore un léger inconfort.

A noter que les peurs de manquer sont aussi liées à une peur de manquer de vitalité, vous pouvez donc formuler ainsi : "je libère mon corps de cette peur de manquer et de ce manque de vitalité".